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what's the fuck ?
13 mars 2009

23 : 17

Il y a ton sourire qui s'élève C’est comme une lueur d’espoir Il y a l’ombre et la lumière Au milieu de notre trajectoire Il fallait choisir une route Alors on a choisi la pluie Acide à s’en brûler le cœur Pourvu que planent les esprits Il y a tes yeux qui me tuent Quand tu me dis c’est fini Il y a le vent de nos sanglots Qui souffle pour une amnistie Mais rien n’arrêtera la lutte Rien ne séchera cette pluie Rien ne finira la chute Car rien ne finit l’infini Rien ne desserrera nos mains Rien n’éteindra l’éphémère Nous forcerons, nous forcerons nos destins Puis nous perceront les mystères Il y a les lois de l’empire Et les trous noirs dans ma mémoire Il y a le meilleur et puis le pire Au milieu de notre trajectoire Combien tu vends ta liberté, Dis, combien tu vends ta poésie Moi j’ai même vendu mon âme au diable, pour ton sourire Puisque tout est aléatoire Dans le chaos des univers Et puisque insoluble est la réponse Et puisque déjà me manque l’air Et qu’importe les directions Jusqu’au delà de la limite Tous les chemins mènent à tes yeux Tous les chemins mènent à la fuite Rien ne desserrera nos mains Rien n’éteindra l’éphémère Nous forcerons nos destins Nous perceront les mystères Rien ne desserrera ces poings L’univers, l’univers Nous retrouverons nos chemins Nos idées puis l’univers Il y a ton sourire qui s'élève C’est comme une lueur d’espoir Il y a l’ombre et la lumière Au milieu de notre trajectoire Il fallait choisir une route Alors on a choisi la pluie Acide à s’en brûler le cœur Pourvu que planent les esprits. Saez - Il y a ton sourire I' m tirred, tooooooo.... l faut être toujours ivre, tout est là ; c'est l'unique question. Pour ne pas sentir l'horrible fardeau du temps qui brise vos épaules et vous penche vers la terre, il faut vous enivrer sans trêve. Mais de quoi ? De vin, de poésie, ou de vertu à votre guise, mais enivrez-vous! Et si quelquefois, sur les marches d'un palais, sur l'herbe verte d'un fossé, vous vous réveillez, l'ivresse déjà diminuée ou disparue, demandez au vent, à la vague, à l'étoile, à l'oiseau, à l'horloge; à tout ce qui fuit, à tout ce qui gémit, à tout ce qui roule, à tout ce qui chante, à tout ce qui parle, demandez quelle heure il est. Et le vent, la vague, l'étoile, l'oiseau, l'horloge, vous répondront, il est l'heure de s'enivrer ; pour ne pas être les esclaves martyrisés du temps, enivrez-vous, enivrez-vous sans cesse de vin, de poésie, de vertu, à votre guise. Enivrez Vous - Baudelaire. Je m' enivre doucement, je crois bien. Il y a beaucoup de choses qui font que j' y pense souvent. J' aimerais bien avoir dans ma tête une sorte de commode,avec un tirroir pour-ci, un tirroir pour-ça, j' rangerais tel truc ici, tel truc là. J' pourrais savoir ou est la moindre chose, dans le plus petit des tirroirs. Mais j' voudrais que ce soir une commode particulière toute biscournue,parce que une commode trop parfaite, toute droites avec que des angles droits, c 'est pas interressant, j' me lasserais vite j' pense. J' veux avoir a chercher un peu, mais a trouver au bout de quelques temps. Dessus j' posserais un crayon j' pense, et un cahier. Et dès que j' passerais devant j' dessinerais un truc auquel je pense.
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